Alimentation

Chaque année dans le monde, 58 milliards d'animaux terrestres sont tués pour être mangés. Ce à quoi il faut ajouter les 144 tonnes de poissons, sans parler des mollusques et des crustacés. Ces chiffres vertigineux n'ont finalement que très peu de sens face à une réalité si souvent occultée ou évincée car on préfère bien souvent les notions de gastronomie et de tradition à celle de souffrance. Ces chiffres annoncent pourtant la froide réalité d'un massacre à grande échelle, un holocauste animal.

Elevage

La "domestication" des animaux, notamment ceux élevés pour être mangés, a commencé il y a 11000 ans environs, avec la sédentarisation progressive et la transformation de l'humain chasseur-cueilleur en agriculteur-éleveur.

Cela engendra une différence de considération. L'animal devient un objet de production. L'humain se détache de la nature et, se considérant alors comme supérieur par sa maîtrise des éléments, domine et contrôle l'animal. Lire la suite...

Transport

Abattage

Pêche industrielle

Le foie gras

Décrivons d'abord en quoi consiste le foie gras. En grande majorité il s'agit de canard (82 millions de canetons contre 70000 oisons naissent pour le gavage). Très vite, le massacre commence puisque les oisillons sont sexés (on retourne leur orifice génital) et les les femelles, dont le foie est considéré comme trop nervé, sont éliminés (elles sont broyées ou gazées). Ensuite ils sont élevés en semi-liberté ou en cage, jusqu'à 80 jours environs.

C'est ensuite que la torture commence. Lire la suite...

Mollusques et crustacés

Les mollusques et autres crustacés sont souvent déconsidérés en tant qu'animaux et même certaines personnes, qui sont conscient des souffrances endurées par les mammifères mangent par ailleurs des animaux marins sans ressentir mauvaise conscience.

Or les crustacés ont un système nerveux décentralisé. Ce qui signifie que lorsqu'on les ébouillante, ils souffrent jusqu'à ce que leur système nerveux soit entièrement détruit. Lire la suite

Le lait

Les oeufs

Le miel

Souvent, lorsqu'en temps que végétalien-ne, on dit ne pas manger de miel, cela suscite de l'incompréhension. Les apiculteurs représente en effet dans l'esprit de beaucoup le symbole du sauveur des abeilles, celui qui a alerté l'opinion publique sur les graves conséquences de l'utilisation des pesticides sur les insectes pollinisateurs, et qui traite bien ses animaux. Mais n'oublions pas que si l'apiculteur se préoccupe du sort des abeille, c'est bien parce qu'il se sert allègrement dans leur production!
S'il est vrai également que les pires traitement réservés aux abeilles (ruche brûlé après récolte) se font surtout au Canada et aux États-Unis, la production de miel en France étant inférieure à la demande, le reste du miel vient bien de quelque part... Lire la suite...